7 novembre 2011
Les mots des autres
… à défaut des miens…
« (…) j'ai pensé que les mots ne frissonnent pas, eux, qu'ils ne peuvent qu'être tranchants, meurtriers, au mieux ambigus, et qu'ils ne nous donnent les êtres que lointains, ou morts. »
(Richard Millet, La fiancée libanaise)
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